Les porte-conteneurs sont-ils trop gros pour se soucier du vent et des vagues ?

Alors qu’un nombre croissant de vaisseaux changent de route en contournant l’Afrique par le Cap de Bonne Espérance, pour éviter de payer les droits de passage du Canal de Suez, les aléas de la météo marine devraient refaire surface. Puisque les économies ainsi réalisées peuvent se monter jusqu’à 500 000 €, est-il raisonnable de faire l’économie d’une étude fine de la météo marine pour le passage sud dans des conditions de navigation souvent très chaotiques ?

En cas de sinistre, même lorsque les navires sont sauvés, qui peut se permettre de voir une partie de la cargaison perdue en mer ?

NOVELTIS a développé et testé un modèle qui prédit la probabilité d’occurrence de vagues scélérates dans une zone particulière, ou sur une route maritime définie. Ce modèle propriétaire est fondé sur les toutes dernières recherches sur le sujet des vagues scélérates. Il est déjà utilisé par certaines des plus grandes compagnies d’Oil & Gas et de shipping.